vendredi 14 février 2014

Nuit blanche

Une rose en hiver...

Dans le noir de ma nuit blanche,
De mes pensées enflammées,
De mots d'Amour pour toi réservés,
J'ai noirci cette feuille blanche.

Je me suis bercé de tous ces discours
Que je voudrais tout haut te dire
Qui hantent mon esprit en délire
Et sans ménagement, le labourent.

J'ai divagué pendant des heures,
Enfiévré par mes désirs excisés,
Délirant comme un damné,
Espérant qu'enfin le jour m'effleure.

J'ai cherché obstinément la paix
Pour mon âme forcenée,
Condamnée à perpétuité,
À souffrir, de mon amour, son faix.

J'ai renié cent fois mes serments,
Trop généreux qui te libéraient
De moi et la liberté t'octroyaient,
Pour d'autres, moins accommodants.

J'ai pleuré du trop de générosité,
De mes sentiments exacerbés.
En silence, dans la nuit, j'ai hurlé
Dans le noir de ma nuit blanche,
De mes pensées enflammées,
De mots d'Amour pour toi réservés,
J'ai noirci cette feuille blanche.

Je me suis bercé de tous ces discours
Que je voudrais tout haut te dire
Qui hantent mon esprit en délire
Et sans ménagement, le labourent.

J'ai divagué pendant des heures,
Enfiévré par mes désirs excisés,
Délirant comme un damné,
Espérant qu'enfin le jour m'effleure.

J'ai cherché obstinément la paix
Pour mon âme forcenée,
Condamnée à perpétuité,
À souffrir, de mon amour, son faix.

J'ai renié cent fois mes serments,
Trop généreux qui te libéraient
De moi et la liberté t'octroyaient,
Pour d'autres, moins accommodants.

J'ai pleuré du trop de générosité,
De mes sentiments exacerbés.
En silence, dans la nuit, j'ai hurlé
A tue-tête, mes inavouables desseins,

Où je rêve de t'emprisonner
À jamais dans ma cage dorée,
À faire de toi, mon aimé,
À tout autre, te confisquer.

Dans le noir de ma nuit blanche
Pour toi, pour moi, j'ai rêvé
De tout et de son opposé,
Jusqu'à ce qu'enfin je flanche.

Dans le noir de ma nuit blanche.
J'ai espéré un dénouement à ma folie,
De mes tourments l'anesthésie,
En noircissant cette feuille blanche
Dans le noir de ma nuit blanche,
De mes pensées enflammées,
De mots d'Amour pour toi réservés,
J'ai noirci cette feuille blanche.

Je me suis bercé de tous ces discours
Que je voudrais tout haut te dire
Qui hantent mon esprit en délire
Et sans ménagement, le labourent.

J'ai divagué pendant des heures,
Enfiévré par mes désirs excisés,
Délirant comme un damné,
Espérant qu'enfin le jour m'effleure.

J'ai cherché obstinément la paix
Pour mon âme forcenée,
Condamnée à perpétuité,
À souffrir, de mon amour, son faix.

J'ai renié cent fois mes serments,
Trop généreux qui te libéraient
De moi et la liberté t'octroyaient,
Pour d'autres, moins accommodants.

J'ai pleuré du trop de générosité,
De mes sentiments exacerbés.
En silence, dans la nuit, j'ai hurlé
A tue-tête, mes inavouables desseins,

Où je rêve de t'emprisonner
À jamais dans ma cage dorée,
À faire de toi, mon aimé,
À tout autre, te confisquer.

Dans le noir de ma nuit blanche
Pour toi, pour moi, j'ai rêvé
De tout et de son opposé,
Jusqu'à ce qu'enfin je flanche.

Dans le noir de ma nuit blanche.
J'ai espéré un dénouement à ma folie,
De mes tourments l'anesthésie,
En noircissant cette feuille blanche
À tue-tête, mes inavouables desseins,

Où je rêve de t'emprisonner
À jamais dans ma cage dorée,
À faire de toi, mon aimé,
À tout autre, te confisquer.

Dans le noir de ma nuit blanche
Pour toi, pour moi, j'ai rêvé
De tout et de son opposé,
Jusqu'à ce qu'enfin, je flanche.

Dans le noir de ma nuit blanche.
J'ai espéré un dénouement à ma folie,
De mes tourments l'anesthésie,
En noircissant cette feuille blanche.


C. BAILLY
Tous droits réservés

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