Et plus je te sens
salope,
Plus je suis hot.
De me savoir ton
mâle,
Mon âme râle.
En pensant à ton
dard,
Je rêve de lupanar.
Faire de toi mon
sujet,
Et en toi m'oublier.
Entre tes fesses
Et leur ferais
oublier leur sagesse.
J'y ferais un feu de
paille
Qui embraserait tes
entrailles.
Ne voudrait
s'incliner,
Qu'après, en toi,
s'être vidé.
Tu deviendrais
l'antichambre
D'un plaisir tendre.
Je me ferais, pour
ton corps, le picador
De ton cœur le
matador.
Pour qu'enfin « il »
s'exclame
Par une jouissance
infâme.
C. Bailly
Tous droits réservés
Joli poème
RépondreSupprimerLe poids des mots sans le "choc des photos"...
Mais y-a-t-il vraiment besoin de photos : c'est tellement imagé!!
Merci pour ce commentaire à propos !
RépondreSupprimerComme vous voyez je ne tourne pas autour du pot ! sourire
J'aime, j'aime, j'aime !
RépondreSupprimerMerci mon Bisouillon ! C'est ma plus belle récompense !!!
SupprimerBisous à vous deux