Cauro Hige |
Là, au beau milieu de mes rêves,
Dans le secret de notre couche,
Ton corps vient prendre la relève
Sans même que je m'effarouche.
Tout contre moi, tu viens te glisser.
Tes mains, furtives, se promènent
Sur mon corps déjà ensommeillé,
Montrent leurs dons de magiciennes.
Cauro Hige |
Ainsi enveloppé de tes caresses,
Je n'ose pas sortir de ma torpeur,
Trop heureux qu'elles m'agressent.
J'ai peur que se dérobe ce bonheur.
Libres, elles vaquent sur mes terres
Qui ne leur sont pas inconnues.
Leurs charmes sur moi opèrent,
Me dévoile, je ne suis point ingénu.
Cauro Hige |
Ton corps si brûlant me submerge
De tendresse, me fait des promesses.
Ton désir émoussé sur moi converge.
Je sais, je sens combien je l'intéresse.
Tes bras, telle une liane, m'enlacent,
Sur ma nuque, ton souffle court,
Tout contre moi, ton corps, vorace.
Un frisson délectable me parcourt.
Cauro Hige |
Je me laisse aller à ce doux plaisir
De me sentir aimé, d'être désiré
Tout en moi se donne, pour t'offrir
Tout ce dont tu veux, de moi, disposer.
Alors, en maître, sur ma nuit,
Tu peux régner sans conditions…
Christian Bailly
Tous droits réservés
23/01/2012
bravo poeta!
RépondreSupprimeril tuo amico Xersex & http://menforxersex.blogspot.com
merci mon bel ami ! Bonne soirée à toi !
SupprimerAh les caresses ! C'est tellement agréable d'en recevoir et d'en donner, même quand on est à moitié endormi.
RépondreSupprimerOui dans le demi-sommeil... C'est délicieux... On voudrait que cela ne s'arrête pas... On est comme dans un rêve... J'adore le ressentir, mais aussi lui offrir cet instant délicieux où son corps s'abandonne...
SupprimerBisou Kalinours !