St Laurent de la Salanque
le 20/09/2012
Mon Ami, Mon Amour,
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| du net |
Me voici pour un temps loin de toi,
Et cet éloignement me fait déjà sentir
Que je ne peux plus me passer de toi.
Je passe ma nuit à ne point dormir.
C'est qu'ici, je souffre d'insomnie,
Je n'ai personne pour me cajoler,
Je suis seul égaré dans mon lit,
Personne pour tendrement m'épuiser.
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| Germa Marquez |
À moins que ce ne soit ma plume
Qui me démange pour t'écrire,
Écarte de mon sommeil, les brumes,
Pour ne point me laisser m'assoupir.
Alors je t'imagine, ensommeillé,
Nu, moi me glissant dans les draps
Réchauffés par ton corps dépouillé,
Pour me réfugier là, dans tes bras.
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| Germa Marquez |
Déjà, mes mains agiles courent sur toi,
Pour ce qui sépare nos corps, te le retirer.
Déjà, mes baisers se posent sur toi,
Pour réveiller ta chair et ton bel objet.
Pour sure, qu'il est beau ainsi dressé,
Il fait notre plaisir à tous les deux,
Ce bel animal que j'aime dompter.
À le voir ainsi, je deviens talentueux…
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| Germa Marquez |
Je ne cherche pas à lui résister.
Comment ne pas céder à ce plaisir
De te contenter, de le combler,
De contenter ma faim, mon désir ?
Tu me connais, je suis gourmand,
Mais de toi, je suis fin gourmet.
De mes faiblesses, tu es le tourment
À tant d'attraits, je ne sais résister.
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| Germa Marquez |
Tu es ma douceur, ma friandise.
Toi aussi, tu sais bien mes défauts,
Jamais tu ne calmes ma gourmandise,
Je sais bien que tu attends mes assauts.
Je rêve de toi, dans ton lit tout chaud,
Par la pensée, je peux te voir, te sentir.
Je connais tout de toi, de ta peau
Qui me manque, de tes précieux désirs.
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| Germa Marquez |
Tous mes sens en éveil te retrouvent.
Mon Ami, je t'imagine à la perfection.
Je touche tes cuisses qui s'entrouvrent,
Tes fesses me donnent des émotions.
Tout ce que tu m'offres, je le prends,
Et plus j'en ai, et plus j'en redemande.
Tout ce que tu veux, je te le consens,
Tout de moi est pour toi, en offrande.
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| Germa Marquez |
Sais-tu vraiment combien je t'aime,
Quand moi-même, je ne puis l'évaluer ?
Car je t'aime, c'est là mon dilemme,
Dans la démesure…pour l'éternité…
Tout à toi…
Ton nounours
Christian Bailly
Tous droits réservés
20/09/2012
L'absence est dure à supporter, mais qu'elles sont belles et bonnes les retrouvailles......
RépondreSupprimerUn peu de patience.....!!!
Bisous Christian !
Comme tu as raison ma chère Morgane... Quand on aime c'est dans l'absence que l'on peut mesurer l'importance de la présence de l'autre à nos côtés.
SupprimerMerci ! Belle journée à toi
Bisous
t'écris chauw jour des lettres d'amour, avec ton amour!
RépondreSupprimertes poèmes devraient parcourir ton blog comme le sang dans le corps humain. Donc, oui, certainement à la publication de posts passés
Merci mon ami ! Oui, la séparation est toujours très dure pour nous, mais je ne te dis pas les retrouvailles... Nos lettres en sont les préliminaires... sourire
SupprimerMerci d'apprécier mes partages mon ami, et surtout de me le dire, c'est encourageant...
Bonjour Christian,
RépondreSupprimerC'est sans doute égoïste mais je suis heureux de voir qu'il y en a d'autres que moi qui font des insomnies quand ils se retrouvent seuls dans leur lit. Moins égoïstement, je me réjouis de savoir que ce motif d'insomnie doit être exceptionnel pour toi aujourd'hui.
Bisous à toi et à ton Bébé.
Oui effectivement, çà ne m'arrive peu. Je m'absente sans mon Bébé une à deux fois seulement pas an, quand je vais voir mes enfants à Rochefort et mes parents à Perpignan et qu'il ne lui reste pas assez de congés pour m'accompagner, sinon, c'est toutes les nuits à ces côtés, contre lui...
SupprimerJe m'absente sans mon Bébé une à deux fois seulement pas an, quand je vais voir mes enfants à Rochefort et mes parents à Perpignan et qu'il ne lui reste pas assez de congés pour m'accompagner, sinon, c'est toutes les nuits à ces côtés, contre lui... Si je vois que la difficulté à m'endormir persiste, je fais une cure de magnésium...
Gros bisous à vous deux