Pour déposer, sur nos
épaules, sa fraîcheur.
Dans ces bagages,
l'hiver et sa froideur,
Sur moi, doucement,
la mélancolie s'affale.
J'attends de voir
revenir les beaux jours,
Les jours qui
entrouvrent les chemises,
Font sortir les
débardeurs des remises.
Ils abrègent les
nuits au profit du jour.
Les tee-shirts
saillants épousent les corps
Des jeunes garçons
aux cheveux d'or,
Leurs yeux luisent de
leurs sens en éveil.
Confie à nos regards
leurs ventres plats.
Dessinés comme des
tablettes de chocolat,
Ils attisent mon
inavouable gourmandise.
Ces chairs de rêve,
les jeans jonchent en tas,
Les plages où ils
nous dévoilent les diktats
De leur arrogante
beauté, leurs corps d'airain.
Alors…
Les trésors
intouchables gardés au secret,
De leur pudeur toute
masculine, le concret,
En moi alors, je sens
grimper l'adrénaline.
À tous ces gironds
enchanteurs, les frimas
Imposent ses chaudes
cuirasses, oppriment
Leur beauté, quant à
moi, déjà, je déprime.
Ah, les beaux Pères Noël que voilà en entête de ton blog, Christian !
RépondreSupprimerPatience, les beaux jours approchent. Déjà les journées s'allongent, de peu sans doute mais suffisamment pour qu'on puisse penser que le printemps n'et plus très loin ;o)
Bisous
Merci ! Oui, les pères Noël sont de sortie !!! Hahahaha
SupprimerOui Jean, tous les espoirs sont permis une fois novembre et décembre passés... Je n'aime pas beaucoup ces mois-là...
♥♥♥ !
RépondreSupprimerBisouilles à vous deux les tourtereaux !
Supprimerje ne sais s'admirer plus les images ou plus tes poemes!
RépondreSupprimerAlors ne choisis pas, mon ami ! Profite de l'ensemble !
SupprimerBises