Kirill Fadeyev |
À l'horizon, là où se
perd la raison,
Je noie mes pensées,
dans l'immensité,
Mes souvenirs sombres
de déshérité,
Quand je perdais mes
convictions.
Kirill Fadeyev |
À mes pieds, en
vagues généreuses,
S'étale sur le sable,
ma nouvelle réalité.
Dans ces rouleaux
lourds et sensuels,
Je contemple nos
chairs amoureuses.
Sergey Sovkov |
Je sens, sur mon
corps nu, la brise
Elle m'apporte tes
messages d'amour,
Alors, je lui confie
les miens en retour,
Je t'assure de mes
désirs qui me grisent.
Andrew Potter |
Le sable, brûlant
comme tes caresses,
Avive la flamme de
mes souvenirs,
De nos corps enlacés
prêts à défaillir,
De nos corps
abandonnés à la paresse.
Andrew Potter |
Je me retourne, et ce
n'est pas un rêve.
Tu es là, tout près
de moi, si désirable,
Prêt à partager ces
instants enviables,
Où nous corps n'ont
point de trêve.
Andrew Potter |
Un instant, j'ai cru
revivre ce désarroi,
Qui hantait alors mon
âme déchirée,
Quand solitaire, à
regarder l'immensité,
J'attendais qu'elle mît
fin à mon effroi.
Kirill Fadeyev |
De ton corps, je suis
sous hypnose,
J'oublie ces secondes
d'égarement.
Te regarder suffit à
mon contentement.
Je te dois de voir
enfin la vie en rose.
Christian Bailly
Tous droits réservés
21/01/2011
Comme toujours mon Cher Christian tu excelles avec grâce dans l'Art à manier les mots
RépondreSupprimerTu embellis ce monde à la dérive avec tes douces poésies
Agréable weekend à tous les Deux
Amicales pensées
Merci cher ami inconnu (?? Tu es affiché en anonyme)
SupprimerMerci pour ce beau commentaire encourageant. J'avoue que çà fait toujours très plaisir...
Je ne sais pas si j'embellis réellement ce monde à la dérive comme tu dis et comme je le pense aussi... Mais j'espère apporter ma pierre, si petite soit-elle, à la compréhension de ce que nous sommes et de nos amours...
En attenant de te reconnaître... Bises amicales
Bravo pour ce poème que tu as écrit en hiver et qui a pourtant un réel parfum d'été ! C'est sans doute un pur hasard mais qui tombe bien pour ce texte où les périodes sombres de ta vie viennent titiller tes jours ensoleillés par ton bébé.
RépondreSupprimerBravo pour ton commentaire judicieux Jean... Il est vrai qu'il me plaît de revenir en poésie sur des bons moments passés pour les figer à jamais avec des mots... Et c'est souvent en me remémorant des moments difficiles que j'apprécie le plus les bons instants que je vis au présent...
SupprimerBisous à vous deux les amoureux...