Carlos-Barahona Possollo |
Mon ami, mon amant,
Je sens mûrir en moi,
Mon désir de toi, en émoi,
Ma chair appelle ton corps,
Pour lui offrir ses trésors,
Se donner à tes caresses.
Elle te promet l'ivresse.
Carlos-Barahona Possollo |
Mon ami, mon amant,
Viens contre moi frotter
Ton sexe dur et émoustillé,
Ton envie impérieuse,
Farouche et sulfureuse,
De venir me culbuter,
De me transpercer.
Mon ami, mon amant,
Son charme me désarme,
J'attends sa première larme
Sur mes lèvres asséchées
Par les lames obscures
De mon désir exacerbé.
Dans ma gueule offerte,
Sur ma langue experte,
Au fond de ma gorge en feu,
Enfonce profond ton pieu.
Carlos-Barahona Possollo |
Mon ami, mon amant,
Viens que je te lèche,
Déjà, je me pourlèche.
Sens comme je suis humide.
Aller ! Ne fais pas le timide.
Abuse de ma bonne volonté,
Viole ma baveuse intimité.
À Priape, je veux me vouer,
Corps et âme, je suis dévoué.
Mon ami, mon amant,
Dans tes bourses duveteuses,
De tes couilles juteuses,
Lourdes de promesses,
J'espère les largesses
Sous la soie, les impertinentes
Elles roulent, impatientes,
Sous mes doigts qui s'agitent,
Pressés qu'elles dégurgitent.
Mon ami, mon amant,
Laisse-moi festoyer,
Jouir de mon péché,
Lécher ton sexe turgescent,
Par le désir incandescent.
Sur le satin de mes lèvres,
Il me transmet sa fièvre.
J'attends de lui qu'il m'offense,
Me voilà, à lui, sans défenses.
Viens mon ami, mon amant,
Branle-toi, astique ta tige,
À la voir, j'ai des vertiges.
Fais-là moi bien dure,
J'en attends les forfaitures.
Pour elle, je me fais gueuse,
Lui promets une fin glorieuse.
Peu m'importe la douleur,
Pourvu qu'elle me fasse honneur.
Viens mon ami, mon amant,
Déverse en moi ton foutre,
Soulage enfin ta poutre,
Oui, donne-moi ta semence,
Tout, de ta virile laitance.
Que ma généreuse croupe
Tombe sous sa coupe.
Elle n'est plus une enclave,
Mon corps est ton esclave.
Mon ami, mon amant
De ta jouissance, je suis le réceptacle.
De ton amour, je suis le tabernacle.
Carlos-Barahona Possollo |
Laisse-moi festoyer,
Jouir de mon péché,
Lécher ton sexe turgescent,
Par le désir incandescent.
Sur le satin de mes lèvres,
Il me transmet sa fièvre.
J'attends de lui qu'il m'offense,
Me voilà, à lui, sans défenses.
Viens mon ami, mon amant,
Branle-toi, astique ta tige,
À la voir, j'ai des vertiges.
Fais-là moi bien dure,
J'en attends les forfaitures.
Pour elle, je me fais gueuse,
Lui promets une fin glorieuse.
Peu m'importe la douleur,
Pourvu qu'elle me fasse honneur.
Carlos-Barahona Possollo |
Déverse en moi ton foutre,
Soulage enfin ta poutre,
Oui, donne-moi ta semence,
Tout, de ta virile laitance.
Que ma généreuse croupe
Tombe sous sa coupe.
Elle n'est plus une enclave,
Mon corps est ton esclave.
Carlos-Barahona Possollo |
Mon ami, mon amant
De ta jouissance, je suis le réceptacle.
De ton amour, je suis le tabernacle.
Christian Bailly
Tous droits réservés
14/11/2016
Chaud, chaud mon Crhichri, chaud ! .. bravo, cela me fait penser à du Vian !
RépondreSupprimerOups ! De loin alors !!! Oh, je me contente d'être Christian Bailly, rimailleur pour le plaisir de partager ces états d'âme, jusqu'à les plus secrètes... J'y dénude mon âme, mon corps et mes désirs d'humain-animal...
SupprimerBisous mon bel ami
Avec mes plus belles amitiés
Eh oui, comme dit Jean-François, c'est chaud tout cela, je dirais même plus, c'est chaud boulette !
RépondreSupprimerOui c'est cela Jean !!! Je suis très inspiré !!! Il faut dire que j'ai de l'expérience et puis...
SupprimerC'est presque du live.... hahaha
Bisous à vous deux
Bravo! je ne peux perdre pas de tes posts!
RépondreSupprimerXersex & http://menforxersex.blogspot.com
Merci mon ami
SupprimerÀ bientôt... À te visiter sur ton blog...