Aujourd'hui, je flanche
Devant ma page
blanche,
Ma plume invite la
muse,
Mais rien ne l'amuse.
J'ai la tête comme
une casserole,
Et mes idées, au
large, s'envolent.
Pourtant, les mots la
démangent,
Mais ces maux, point
s'arrangent.
Je voudrais tant
parler d'amour,
Lui dire que je
l'aimerai toujours,
Lui promettre monts
et merveilles,
Ma muse persiste en
mode veille.
Roberto Ferri |
Je voudrais lui
parler de plaisir,
Attiser, de mes mots,
ses désirs,
Lui dire ce que
personne n'ose,
Ma Muse persiste en
mode pose.
Paul Cadmus |
D'être dans cet état
me déprime,
À rimer, pourtant, je
m'escrime.
Désolé, les amis ! Je
déconnecte !
Avant que son virus
ne m'affecte
Amis poètes, je vous
dis à bientôt
Nanananère, je ne suis pas le seul à être nargué par la page blanche !
RépondreSupprimersilence du crayon et oreilles, yeux à l'affût ..
Tôt ou tard, nous y passons tous un jour...
SupprimerUn mal pour un bien, pour mieux rebondir...
Bisous à vous deux