Un rayon caresse mon sein dénudé,
Je me dis, comme c’est bon d’être,
Ainsi abandonné à sa volonté.
Mes tétons impudiques durcissent,
Un désir ardent se fait sentir,
Là, dans la tiédeur de mes cuisses.
Un désir qui ne demande qu’à jaillir...
Christian Bailly
Tous droits réservés
29/12/2018

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire