Costa Dvorezvky |
Mon Ami, regarde-moi
!
Je suis à tes
genoux
Je me
prosterne
Je fais ma
salope
J'attends
que tu me lopes.
Mon ami, fais-moi
mal
Que ma chair
se souvienne de ton passage.
Eric Massart |
Mon Amour, regarde-moi
!
Je suis tout
à toi
Je suis ta
chose
Mon corps
pervers
Quémande son
martyre
Mon âme,
sa délivrance…
Pourvu qu'elle
vienne de tes mains fiévreuses.
ABARO - The ficherman |
Mon Maître,
regarde-moi !
De ton sexe
souverain
J'attends
les persécutions
Marque-moi
au fer
De tes
désirs volcaniques
Je veux sentir
chaque jour
Dans ma
chair frémissante
Les
stigmates de ton amour irrationnel.
Jordaens Jacob - Promethee attached |
Maître, regarde
ton esclave !
Je suis
prisonnier
De mes
sentiments
Ils me
dévorent
De mes appétits
Ils me tourmentent
Ils bouffent
mon âme
Et mes
entrailles.
Accorde-moi
ta démoniaque
miséricorde…
Du net |
Maître, regarde
ma folie !
À tes pieds,
elle est étalée…
Toi seul peux
me guérir
Toi seul peux
m'exorciser
Maître, verse
sur moi
Ton élixir
de seigneur
Donne-moi
ton vin,
Donne-moi
ton pain,
Que
pour toi, je me damne pour l'éternité.
Christian Bailly
Tous droits réservés
22/04/2016
tu n'es pas damné, t'es beni!
RépondreSupprimervoilà mon dernier post:
http://menforxersex.blogspot.it/2016/04/waste-or-taste.html
je connais ta réponse (elle erst bien la mienne)
Merci mon ami pour ce doux commentaire... Tu sais, si je remonte très loin dans ma vie, enfant je pensais déjà être damné, de part ma naissance, puis de part ce que j'ai découvert qui couvait en moi... Seul l'amour que je vis aujourd'hui m'a enlevé cette funeste pensée de la tête... Enfin presque...
SupprimerBon dimanche mon ami
Je ne te savais pas "slave", Christian. Mais pourquoi pas ? Il y a toutefois quelque chose que je ne comprends pas au début du poème. "Je suis à tes genoux", ça je comprends très bien et je visualise parfaitement la scène dont je perçois tout l'intérêt. Par contre, je n'arrive pas à comprendre pourquoi tu continues par "je me prosterne". Là, je ne te suis plus. J'aurais pour ma part levé légèrement la tête et sorti la langue pour engloutir le pendentif taquin se soulevant sous mes yeux. Et plus tard seulement me prosterner à quatre pattes, tel un musulman à l'heure de la prière, sans toutefois être tourné vers La Mecque mais offrant mon postérieur au mec. Il n'y a là aucune damnation à craindre à mon avis.
RépondreSupprimerOulala ! Quelle savante analyse mon Kalinours !! Je vois que chacun de mes gestes est attentivement étudié... Sourire
SupprimerMon côté "slave" ? Non pas trop en vérité, enfin pas au point que certain peuvent l'entendre... On va dire plutôt soft... Juste pas jeu, pour le plaisir de "servir" si tu vois ce que je veux dire... Pour le reste, je suis tout à fait d'accord et je te suis absolument. Tu sais parfois quand j'écris je suis pris pas le feu de l'action, je laisse ma plume filer inspirée pas mes fantasmes...
Comme tu peux voir, je me suis aussi laissé inspirer par mes fantasmes dans le commentaire que j'ai fait la semaine passée :o)
SupprimerHummm ! Merci ! J'adore çà !!! sourire
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