Mon âme révoltée,
Dans sa démesure,
Nie les coups de griffe de la censure.
Théodore Géricault |
Ma plume exubérante,
Sur la feuille blême,
Griffonne des "je t'aime" anathèmes.
Dans sa cathédrale,
Te crie son sentiment triomphal.
Mes désirs exaltés,
Au parvis de ton temple,
S'impatientent et te contemplent.
Théodore Géricault |
Ma chair insoumise,
Et sa lame infâme,
Clament leurs attentes, te réclament.
Théodore Géricault |
De mon empressement,
La cause est louable,
Les desseins ne sont plus inavouables.
L'amour est souverain,
C'est une évidence,
Nonobstant, les esprits en dissidence.
Théodore Géricault |
À nos sentiments,
En toute liberté,
Au grand jour, enfin l'égalité d'exister.
Au temple de Cupidon,
Nos virils hyménées,
Aux rangs et places en toute légitimité.
Théodore Géricault |
Notre amour est partagé,
À lui d'heureux lendemains,
Mon amour, donnons-nous la main,
Je t'aime !
Christian Bailly
Tous droits réservés
05/11/2015
excellent! tu désires ton homme avec chaque cellule de ton corps et de ton âme !
RépondreSupprimerOui mon ami, je crois bien que c'est ça !
Supprimer... Et bientôt la consécration!
Bises amicales