À l'amour suprême,
Point de théorème,
L'amour est un enfant
de Bohême,
Nous sommes les
jouets de ses stratagèmes.
Par un matin blême,
Surprend les corps
endormis,
Tisse autour d'eux sa
toile d'envie.
À l'amour suprême,
Point de carême,
Le désir contraint
les amants,
L'amour suprême,
C'est la vie de
bohème,
Il galvanise les jeunes
amoureux,
Les séduit par ses
refrains langoureux.
L'amour suprême,
Vers ses extrêmes,
Emporte dans son
tourbillon,
La chair des amants, vers l'exaltation.
De ses emblèmes,
Sacrifie des amants
leurs cœurs,
Avant de convertir
leur chair au bonheur.
À l'amour suprême,
Point d'anathème,
Aux corps en liesse,
la délivrance,
Aux désirs
affranchis, la transcendance.
Ô ! Amour suprême !
Ô ! Suprême amour !
Quand tu nous mènes,
C'est pour toujours…
Christian Bailly
Tous droits réservés
17/10/2012
bravo!!!
RépondreSupprimermerci pour ton passage et ton petit mot encourageant mon ami
SupprimerBonne soirée à toi
Quand on découvre l'amour suprême, on ne peut plus guère se satisfaire des autres, Christian.
RépondreSupprimerOh mais celui-ci me convient très bien, effectivement !!! Que du bonheur !
SupprimerJe vous en souhaite de même...
Gros bisous à vous deux