Cette nuit, sur ton oreiller, j'ai retrouvé ton odeur,
Mais de ton corps amoureux, il me manquait la saveur.
Je l'ai retrouvé dans les rêves que tu avais déposés
Après nos ardentes étreintes et nos plaisirs partagés.
Sur ton oreiller, j'ai déposé les larmes de l'absence,
Pour qu'elles éteignent l'insubordination de mes sens.
Mais notre couche exhalait les effluves de nos ébats.
Elle tenait mes désirs en haleine et mon esprit en éveil.
Finalement,
Je me suis laissé envahir par une torpeur voluptueuse,
Où je revivais nos enlacements dans la nuit silencieuse,
Et chaque fait d'armes de nos corps soucieux de plaire.
Alors, enveloppé de cette atmosphère de sensualité,
Le sommeil s'est invité sans appel, pour m'emporter
Vers mes rêves, là où je savais que tu m'attendais.
Texte et photos: Christian Bailly
Tous droits réservés
21/09/2025
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